La mobilité internationale a le vent en poupe. En 2015, 12% des missions ont été effectuées à l’international*.
Les demandes sont exponentielles. De fait, un manager de transition sait qu’une entreprise va exiger une certaine mobilité en France ou à l’étranger. De plus en plus de sociétés s’implantent à l’étranger pour maintenir leur compétitivité. Les postes à responsabilité fleurissent en Europe, en Asie, en Afrique.
Les contextes d’intervention sont variés : accompagner un changement, gérer une crise, organiser une cession, mieux « performer ». Pour travailler en dehors de nos frontières, un manager de transition doit justifier d’une expérience similaire, parler la langue du pays et en connaître la culture. Concrètement, vous pouvez être appelés pour piloter le transfert d’un site de production russe vers la Chine, donc parler russe, avoir de solides notions de mandarin et savoir concilier les deux cultures. L’exemple est atypique mais la demande des entreprises évolue dans ce sens. Cette complexité, les managers de transition, particulièrement expérimentés y sont normalement habitués. Vous n’avez pas choisi ce métier par hasard…
Pour conclure un contrat de travail international, il faut être bien conseillé. Sans un suivi juridique personnalisé et adapté à votre situation, les événements peuvent se corser très vite. Il existe deux options : le détachement ou l’expatriation.
Lorsque le manager de transition est détaché, il dépend du droit français. Il bénéficie du régime de la sécurité sociale française et conserve ses droits sociaux : assurance maladie, mutuelle, prévoyance, retraite, assurance chômage. Il s’acquitte bien sûr, des charges salariales et patronales dues. Le détachement est un statut privilégié. Les conditions d’obtention de ce statut se sont durcies avec la loi du 10 juillet 2014 afin de lutter contre la concurrence sociale déloyale.
Le manager de transition peut également obtenir le statut d’expatrié, certes plus souple, il peut s’avérer moins protecteur si l’on ne prend pas les dispositions nécessaires.
Dans ce cas de figure, vous êtes automatiquement affiliés au régime de protection sociale du pays d’expatriation. Cependant, vous avez la possibilité de relever de la protection sociale française si une déclaration est faite auprès de la Caisse des Français de l’Etranger (CFE). Vous êtes, ainsi, assurés contre certains risques.
Chez Managers en Mission, nous nous chargeons de réaliser ces modalités pour vous !
Le statut idéal est celui qui correspond au mieux à votre situation. Nous vous aidons à calculer le ratio coût/avantages afin de vous offrir une couverture complète à un prix juste. Nos responsables d’activité portage salarial sont à votre écoute.
Managers en Mission dispose d’une CRH spécifiquement dédiée à l’international. Notre service analyse votre situation, les régimes sociaux et fiscaux appliqués au sein du ou des pays où vous êtes envoyés afin d’optimiser votre suivi administratif (contrats, formalités) et votre rémunération (possibilité d’exonération d’impôt, PEE, PERCO). En tant que Réseau de managers organisé en portage salarial, nous mettons tout en œuvre pour améliorer votre revenu.
*Source : A2MT Baromètre managers de transition
Demande d'information