Racheter une entreprise pour augmenter son chiffre d’affaires. Une opportunité qui a des conséquences parfois dramatiques pour une entreprise qui n’a pas su gérer cette situation. Avoir recours au management de transition est un gage de réussite. Voyons ensemble en quoi consiste le processus de fusion-acquisition et l’intérêt de recourir au management de transition pour cette opération parfois délicate et nécessitant une expertise de haute volée.
Fusionner plusieurs entreprises, parfois éloignées géographiquement, est une opération délicate. A l’international, les précautions doivent être encore plus grandes car il faut tenir compte des particularités culturelles.
Cette croissance externe est très déstabilisante pour les équipes. Les process, les modes de management, les systèmes d’information, les clients sont différents, et ce même si les secteurs d’activité sont identiques. La rentabilité des entités n’est pas la même.
Il faut trouver le bon équilibre pour créer une synergie et garder une bonne compétitivité. L’erreur la plus souvent commise après une acquisition est de prioriser les tâches quotidiennes au détriment de l’intégration.
Souvent assimilées l’un à l’autre, du fait des opérations de « fusion-acquisition », et parfois même considérées comme des synonymes, les notions de fusion et d’acquisition correspondent en fait à des réalités assez distinctes.
On emploie ainsi le terme « fusion » pour désigner le rapprochement opéré entre deux sociétés de taille équivalente ou relativement proche. Par extension, le terme « acquisition » sert à qualifier le rapprochement d’une grosse société avec une société plus petite.
La différence peut également porter sur l’attitude adoptée par la plus petite société à l’égard de son racheteur. Si l’attitude est amicale, on parlera de fusion ; si, au contraire, elle est plutôt hostile, on parlera dans ce cas d’acquisition. D’ailleurs, la connotation négative parfois associée au terme « acquisition » fait qu’on lui préfère souvent le terme « fusion », même lorsqu’il s’agit techniquement bien d’une acquisition.
Dans l’univers de la fusion d’entreprises, on recense plusieurs formes d’opérations. Les objectifs poursuivis, ainsi que le mode opératoire de ces types de fusions peuvent grandement différer.
Avant d’aboutir, la fusion-acquisition passe par un certain nombre d’étapes. Long et complexe, ce processus exige des connaissances très pointues à la fois sur le plan technique et sur le plan juridique.
Pour la société qui entend diversifier ses activités ou gagner des parts de marché dans son secteur, la première grande étape consiste à identifier et sélectionner une entreprise-cible. Celle-ci doit posséder un certain potentiel (taux de croissance, positionnement, concurrence…) pour pouvoir s’inscrire dans la stratégie poursuivie par l’acquéreur, mais elle doit également être compatible avec la société qui souhaite engager la fusion. En effet, s’il existe de trop grosses disparités (clientèle visée, activités exercées, méthodes de management, culture d’entreprise…), l’opération peut aboutir à un échec.
Après prise de contact entre les deux sociétés et recherche de sources de financement, on entre alors dans une phase de négociation. Celle-ci peut faire suite à la transmission de la lettre d’intention qui sert en quelque sorte à préparer le terrain. Les termes de l’opération de fusion-acquisition sont discutés et un terrain d’entente est trouvé entre les deux entités, du moins dans le cas d’une fusion amicale.
Avant de réaliser la transaction, l’acquéreur procède à une série de vérifications qui permettent de réaliser un diagnostic approfondi de la société qu’il s’apprête à acquérir afin de limiter les risques. On parle communément de « Due diligence » ou diligence raisonnable.
Une fois l’accord d’achat définitif signé et la transaction clôturée, il s’agit de mettre en application l’intégration. Cette dernière concerne aussi bien les procédures que les technologies, mais aussi les pratiques managériales et culturelles. Il peut se dérouler une période plus ou moins longue durant laquelle l’entreprise acquise peut connaître certaines perturbations et faire face à des blocages internes, d’autant plus si l’intégration implique des changements importants. Dans certains cas, pour des raisons géographiques ou stratégiques, la société acquise conserve toutefois une grande part de liberté.
Recourir à un manager de transition pour gérer et maîtrise la fusion-acquisition de vos entreprises revêt plusieurs avantages non-négligeables :
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